« Le jeune homme est mort d’une mort naturelle à la suite d’un malaise dont il a été victime… », Soutient une source policière pendant qu’une autre source affirme le contraire.
« Le jeune homme est mort à cause de ce que les policiers lui ont fait. Ils l’ont sauvagement bastonné. La vérité est qu’il n’a pas pu résister aux blessures occasionnées par la bastonnade dont il a été l’objet et il en est mort. Il a été assassiné au violon du commissariat et après, on l’a envoyé à l’hôpital pour faire croire qu’il est mort là-bas ».
Les circonstances sur la mort de Doh Amos Désiré restent un véritable mystère pour ses parents, selon le quotidien Le Temps. Informés, les jeunes ont voulu en savoir davantage en exigeant de voir le corps.
Ils se sont donc déportés dans les locaux du commissariat à Duékoué pour exiger des explications et le corps de leur camarade, le mercredi dernier. Mais jusque-là, les parents n’ont toujours pas accès au corps de leur fils.
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